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SESTO PRELUDIO
Come discreta e intatta alla quiete d’un mese a sé m’attrasse l’ora del pomeriggio di pietre e vie infinite e un vento d’aria a sponda d’ancoraggio dove il vento finisce, nell’eterna stagione d’alba ferma, immobile sui rami e sulle cose. Francesco Scarabicchi, Il prato bianco, l’Obliquo, 1997 ; reed. Giulio Einaudi Editore, Collezione di poesia 442, 2017, pagina 91.
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FRANCESCO SCARABICCHI
■ Voir aussi ▼ → (sur le site des éditions érès) la fiche de l’éditeur sur Un oubli de neige → (sur Terre à ciel) une lecture d’Un oubli de neige par Hervé Martin |
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